Ptôse mammaire avec la grossesse et allaitement

Ptôse mammaire avec la grossesse et allaitement : La ptôse mammaire est la définition des seins tombants au-dessous de la base mammaire. Quels sont les facteurs de risque ? En quoi consiste la chirurgie visant à corriger une ptôse mammaire ? Peut-on tomber enceinte et allaiter après l’opération ? Cet article va dévoiler tout.

Facteurs de risque de ptôse mammaire

On peut trouver plusieurs facteurs qui augmentent le risque de ptôse mammaire.

• La génétique, c’est doc héréditaire dans la famille.
• Des variations de poids qui mène aux changements de volume de la glande et des distensions du fourreau cutané, qui parfois n’arrive plus à se rétracter.
• Une grossesse ou un allaitement, puisque tous deux augmentent la taille et la poche cutanée des seins.
• Une poitrine importante qui distend le sac cutané contenant la glande mammaire.
• L’âge, puisque la peau perd en élasticité avec le passage des années.

Ptôse mammaire et comment la corriger

Pour corriger cette anomalie il est indispensable de subir une intervention esthétique. On trouve que le chirurgien va échanger d’idées avec la patiente pour déterminer ce qui est réaliste par rapport à sa demande. Car la correction de la ptôse corrige la taille et la forme de l’étui cutané, mais aussi, si nécessaire le volume glandulaire. La chirurgie peut ainsi être associée à la pose de prothèses ou à un lipofilling des seins si l’on souhaite une augmentation mammaire, ou au contraire à l’ablation d’un peu de glande si l’on souhaite une réduction mammaire.

Ptôse mammaire avec la grossesse et allaitement

La patiente a la possibilité de subir quelques grossesses après d’avoir une ptôse mammaire. D’une autre part, il est bien recommandé d’éviter de tomber enceinte pour une période d’un an après de subir l’opération esthétique mammaire effectuée, pour que la cicatrisation soit optimale. Si la glande mammaire a été touchée, notamment lorsque l’on a effectué une réduction mammaire du fait d’une hypertrophie, l’allaitement peut être plus difficile qu’à la normale, mais pas forcément impossible. L’importance de la ptôse et donc du geste chirurgical effectué influerait inévitablement sur la réussite de l’allaitement.